Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

IDERM 83

5 mars 2013

Réunion mensuelle de l'IDERM83

Mes TCFF et SS

Nous avons le plaisir de vous confirmer que nos réunions ont lieu tous les 4ème lundi du mois à la Bastide Verte à La Garde; chaque FF ou SS peut participer à ces réunions; il suffit de prévenir pour les agapes qui suivent la réunion.

Le thème de nos réflexions:

La FM sur le pourtour de la Méditerrannée

Très Frat.°.

Pierre LIEGE

Président

Port 06 86 751 880    liege.pierre@orange.fr

 

Publicité
5 mars 2013

Future réouverture du blog IDERM 83

Bonjour mes SS:. et mes FF:.

Je vous adresse mes fraternelles amitiés depuis mon île de la réunion.

Je suis très heureux de pouvoir à nouveau vous retrouver sur le net, j'epère bientôt que nous pourrons

nous rencontrer physiquement lors de ma future visite dans cette région que j'affectionne tant et dans laquelle

j'ai laissé de nombreuses et nombreux amis.

A bientôt entre midi et minuit.

Tri-Biz.

Dominique GUÉ:.

le 05/03/13

9 mars 2008

Médaille honorifique d'une R:. L:. Belge

R:. L:. Nous Maintiendrons

     Au moment où, pendant la première guerre mondiale, la Belgique était  presque totalement occupée, plusieurs Loges temporaires fonctionnèrent  notamment à Paris, Londres, Calais et le Havre.
   En 1915, une de ces Loges, Nous Maintiendrons (dont fut membre  Louis Piérard - également membre des Amis Philanthropes), était parvenue à transmettre au monde libre un appel émanant du Grand Orient de Belgique, qui lui était parvenu clandestinement, en faveur des orphelins de guerre en Belgique, et elle arriva à faire passer en Belgique les fonds ainsi récoltés.
  Les liens internationaux de fraternité maçonnique résistent rarement aux guerres. Lors de la guerre 1914-18, la maçonnerie allemande se replia sur elle-même, rompant toutes relations même avec celles de pays aussi neutres que la Suisse,et déclarant :                                                       La Franc-maçonnerie internationale est morte;                           vive la Franc-maçonnerie allemande.
    
En 1914 et en 1916, Charles Magnette (1863-1937) a adressé, en tant que Grand Maître du Grand Orient de Belgique, des appels aux Grandes Loges allemandes, s'élevant notamment contre les atrocités commises et les déportations de travailleurs. Cela ne lui valut aucune réponse, mais une peine de prison. La maçonnerie lui rendit hommage après la libération (ci-dessus, la stèle en son honneur, dans un Temple bruxellois), et une médaille (ci-dessous) fut frappée en cette occasion.

                          M_daille_comm_morative_Magnette                          medaille_de_la_loge_Belge_nous_maintiendrons
   

                        Image3        M_daille_2
  Charles Magnette avait installé lui-même la Respectable Loge
                      Nous Maintiendrons  le 1.3.1915.
   Il en avait reçu l'autorisation de l'occupant, sur promesse d'honneur de rentrer à Liège dès la fin de la cérémonie.
Médaille frappée après la guerre :  A Charles Magnette
les francs-maçons belges Opprimé,
il démasqua l'hypocrisie de l'oppresseur. 5916


pour en savoir plus je vous propose le site:
  http://chansmac.ifrance.com/docs/loges/maintiendrons.html
un grand merci à notre F J.P.  B.

 

1 mars 2008

Histoire d'un Général Baron d'Empire.

Voici la biographie du Général Baron d'Empire dont son tablier a servi à la couverture du n°1 de notre revue.

Jean_Pierre_Baillod

Général Baron d'Empire Jean-Pierre BAILLOD

Né à SONGIEU, dans le département de l'Ain (01), le 20 août 1771.

Se porta volontaire au 11e bataillon de l'Ain, le 22 septembre 1793.

Le 27 septembre 1793, il fut promu Capitaine.

Il fut muté dans l'armée des Alpes en 1793, jusqu'en 1794.

Puis dans l'armée d'Italie, en décembre 1794.

le 22 décembre 1795, il fut nommé adjoint à l'adjudant général STABENRATH, employé sous ses ordres dans la 8e Division Militaire (Région Sud-Est).

Confirmé dans son emploi par le directoire exécutif, il fut aussi attaché à l'Etat Major Général de l'armée d'Italie, le 26 septembre 1796.

Le 23 novembre 1796, il passa de cet amalgame à la 22e demi brigade légère, ou il fut nommé chef de bataillon le 31 janvier 1800.

Le 20 janvier 1802, il fut au 22e Léger.

Le 31 janvier 1804, il fut nommé à l'Etat Major et le 19 février 1804 il sera employé au camp de St Omer.

De 1805 à 1807, il servit au 4éme Corps de la Grande Armée, division St Hilaire, en Autriche, Prusse et Pologne.

Le 08 février 1807, il fut blessé d'un coup de feu au bas ventre à EYLAN.

le 04 mars 1807, il sera nommé Adjudant Commandant.

Le 12 octobre 1808, Chef d'Etat Major de la 1ère Division (St Hilaire) du 4e Corps. Il ralliera avec sa division, le 2e Corps de la Grande Armée, le 08 avril 1809 pour servir en Allemagne.

Le 22 mai 1809, il sera à nouveau blessé d'un coup de feu au genou droit, à ESSLING, il sera fait Commandant de la Légion d'Honneur le 23 avril 1809.

Il sera le Chef d'Etat Major de la Division Grosjean.

Le 23 mai 1810, il sera fait Baron d'Empire et ce même jour il rentrera en France.

Février 1810, il sera nommé Chef d'Etat Major de la 14e Division militaire.

Le 20 août 1810, Général de Brigade.

Le 6 août 1811, il remplacera le Sieur LEVASSEUR au commandement du Département de la Manche, au camp de Boulogne. Du 22 mars 1812 au 20 janvier 1813, il commandera le camp de gauche.

Le 28 janvier 1813, nommé Chef d'Etat Major du Corps d'observation de l'ELBE, sous les ordres de LAURISTON.

Le 31 mars 1813, de nouveau Chef d'Etat Major du 3éme Corps d'Armée en Allemagne.

Le 13 octobre 1813, combat avec sa Division à GORM.

Dans la bataille de LEIPZIEK, il fut blessé d'un éclat d'obus, qui lui fracassa la mâchoire inférieure.

Le 18 octobre 1813, il fut renvoyé dans ses foyers pour se rétablir.

Le 5 novembre 1813, Chef d'Etat Major du 2éme Corps sous VICTOR, et le 25 décembre, refusa le commandement de la Manche.

Le 12 janvier 1814, il fut fait Chevalier de la Couronne de fer et en septembre, Chevalier de St LOUIS.

Le 31 janvier 1815, Chef d'Etat Major des 14e et 15e Division militaires sous LEMAROIS.

Le 24 mars 1815, mis en non activité.

Le 1er octobre 1815, compris comme disponible dans le cadre de l'Etat Major Géneral, jusqu'au 30 décembre 1818.

Le 10 décembre 1814, admis à la retraite, à compter du 1er janvier 1825.

Le 1er novembre 1826, il fut nommé Lieutenant Général Honoraire.

Le 3 juillet 1830, élu par le Collège du Département comme Député de la Manche gauche.

Le 22 mars 1831, il sera mis en disponibilité.

Du 5 juillet 1831 à 1834, il sera Député du 4e Collège de la Manche gauche.

Il sera définitivement admis à la retraite, conformément à l'ordonnance du 5 avril 1832, et à compter du 1er octobre 1833, il obtint une pension de 4.620 F.
Relevé de sa retraite, et placé dans le cadre de sa réserve, par décret du 26 janvier 1853.

Il mourut le 1er mars 1853 à VALOGNES, dans le Département de la Manche.

Son nom est inscrit sur le coté Ouest de l'Arc de Triomphe.

Son tablier de maître maçon avec ses nombreux décors qu'il portait lors des réunions.

Tablier_de_J_P_Baillod

Il fut affilié à la R:.L:. "DES VRAIS AMIS" sise à Marseille le 21 avril 1801.

24 février 2008

Musée

4_ma_on_visiteurs

Voici l'ouverture de notre musée virtuel tant attendu par vous tous, nous vous souhaitons une très agréable visite, n'hésitez pas à nous contacter soit pour nous s'éclaircir sur l'intitulé de l'objet soit pour nous demander de plus amples renseignements, nous essayerons dans la mesure du possible de satisfaire votre demande.

tablier_de_Maitre__rite_fran_ais_milieu_XIX_

Publicité
23 février 2008

Chronologie des premières implantations Varoises

L'apparition de la Maçonnerie dans le Var est similaire à ce qui se passait en France. Nous retrouvons le même schéma: apparition de L. "indépendantes" (militaires ou du fait de FF.), arrivée des Obédiences, qui créent de nouvelles L. ou en reconnaissent d'anciennes en leur accordant des constitutions.
Essayons de retracer cette arrivée en terre Varoise essentiellement à la période du XVIIIe.
En premier lieu nous trouvons des L. indépendantes, n'appartenant pas à une Obédience, créées sous l'implusion de FF. ou de L."Mère"... comme:
-St Jean de Jérusalem, à Toulon, fille de la R.L. l'Heureuse Rencontre de Brest, en 1745 et 1760.
-La Parfaite Harmonie, à Toulon, L. militaire, fondée en 1764.
-La Prudence, à Toulon, L. militaire à l'Or. du Régiment de Languedoc, en 1774.
Certaine de ces L. demandèrent plus tard des Constitutions auprès des Obédiences, d'autres furent crées directement par ces dernières telles que:

Grande Loge de Clermont ou Grande Loge de France:
-St Jean l'Ancienne, à Toulon en 1749/1750.
-St Jean Métropole, à Toulon en 1750 (fille de St Ferréol de Marseille).
L'Ecossaise d'Heredon, (ou les Ecossais d'heredon), à Toulon en 1765.

Mère Loge Ecossaise de Marseille:
-La Double Union,
à Toulon, en 1761.
-St Jean d'Ecosse, à Hyères, en 1768.
-La Réunion des Elus, à Toulon,en 1784.
-La Parfaite Egalité, à Fréjus, en 1786.
-L'Ecole des Moeurs et des amis Constants Réunis, à Toulon.
-St Jean d'Ecosse des Amis Réunis, à Brignoles.
-St Jean d'Ecosse des Amis Constants, à Cuers.
-St Jean d'Ecosse de la Parfaite Union, à Draguignan.
-St Jean d'Ecosse des Vrais Amis, au Luc en Provence.
-St Jean d'Ecosse des Parfaits Amis, à Pignans.

Grand Orient de France:
-La Parfaite Alliance
, à Toulon en 1766.
-Les Amis de la Paix, àOllioules.
-L'Ecole des Moeurs, à Hyères.
-Les Fils de Minerve, à Toulon, en 1783.
-Les Enfants de Mars et de Neptune, à Toulon, en 1783.
-Le Triomphe de la Concorde, à la Seyne sur mer, en 1784.
-Les Amis Devenus Frères, à Fréjus, en 1785.
-L'Ecole de la sagesse, à Brignoles, en 1790.

La Grande Loge Provinciale de Provence (sous l'autorité du GODF)
-L'Union des Alpes, à Aups, en 1784.
-St Jean de la Marine La Nouvelle Harmonie, Loge militaire, à Toulon, en 1785.
-L'Union des Coeurs Vertueux, à Barjols, en 1788.

Une L. de Lyon aurait fournis des Constitutions à une L. Toulonnaise avec peut être l'aval
de la Grande Loge des Maîtiers Réguliers de Lyon.
-Les Amis Constant
, à Toulon, en 1774.
-La Réunion, à Sollies-Pont, en 1782.

Liste non exhaustive des R. L. Varoises, il y a encore de trop nombreux points d'intérrogations sur leur nombre, sur leur origine.

Nous remercions par avance les lecteurs qui auraient quelques informations, documents sur cette maçonnerie varoises de nous contacter pour nous en faire part.

17 février 2008

L'arrivée des premières Loges Varoises.

La Provence a été de tout temps un axe de communication, une voie de passage entre le nord et le sud, l'est et l'ouest. Elle est une terre d'échange, de combats, de passion et d'amour. Les Grecs sont venus accoster sur ces rivages, les carthaginois y ont commercé, les Romains l'ont colonisée et lui ont donné son nom, les Wisigoths sont passés, les Maures s'y sont établis... Que de richesses que de diversités sur une si petite frange de terre. Toutes les vagues d'immigrations qui y sont passées en ont forgé la terre, la culture et les mentalités où s'épanouit une Maçonnerie à l'image de cet esprit méditerranéen si particulier.
Au XVIIIe siécle, le nord amenait ses marchants, de Lyon, Paris, et de plus loin encore: Holande, Allemagne, Suisse, Pologne... Ses ports voyaient aborder les marchands Levantins, Anglais, Italiens, Espagnols, Grecs...
Au sein de ce foissonnement d'idées, de cultures, de religions, comment la provence et plus particulièrement le Var actuel aurait pu ignorer au début du XVIIIe siécle l'existence de cette nouvelle "société" anglaise, celle des Frimason?
Sur nos côtes, cette "société" a tout d'abord été propagée, diffusée par les marchands, les militaires, tel le culte de Mithra qui fut véhiculé dans les bagages des Légions romaines. Nous la voyons s'implanter par de simples Loges, sans obédience dans les ports et villes principales. La Loge est de fait la structure de base de la Maçonnerie, l'obédience viendra après pour fédérer, rassembler plusieurs Loges.
Nous pouvons distinguer, en schématisant à l'extrême, deux sources "parisienne", aristocratique, militaire et une source "Provinciale", issue de la bourgeoisie du négoce.
La source "Parisienne" eut une diffusion qui se fit à partir des grandes villes, nous avons l'exemple d'Aix en Provence, capital politique, administrative, ou siège le parlement. Elle est le séjour de la haute noblesse (tant d'épée que de robe). L'aristocratie de la provence orientale et surtout terrienne avait plus de relation avec Aix en Provence qu'avec Marseille. Là s'implanta la Grande Loge de France, puis le Grand Orient de France en 1773. A travers la Grande Loge Provinciale de Provence vers 1772/76 à partir de la Loge l'AMITI7, la composition des R. L. est très aristocratique et se développe dans les villes de l'intérieur de villégiature ou de résidence de l'aristocratie comme: Aups, Barjols, Brignoles. On retrouve aussi des R. L. militaires.
La source "Provinciale" verra quant à elle une diffusion se faire à partir des villes de négoce, donc les villes portuaires vers la côte et les régions du négoce: bassin méditerranéen et les colonies françaises. La composition des R. L. reflète bien cet état: négociants, marine marchande  tant locaux qu'étrangers: Hollandais, Suisse, Anglais... Et là pas ou très peu de militaire. L'expansion de ces L. allait de concert avec l'activité économique. On retrouvera à Marseille les dirigeants de la chambre de commerce être les V. M. des R. L. de la Mère Loge Ecossaise de Marseille comme J. SEYMANDI en 1780.
Bien sur ces deux courants s'opposaient et se faisaient une guerre d'influence et de territorialité, le centralisme parisien contre la provence. Nous retrouverons cette lutte d'influence au travers des différents systèmes de grades et de rites issus de la province.

17 février 2008

Notre vitrine

Chers (es) Amis (es) je vous annonce l'ouverture prochaine de notre Musée sur ce blog.

Encore un peu de patience, nous vous en remercions.

IDERM 83

7 février 2008

bonjour

Bonjour à vous tous ,

tout comme le font remarquer Pierarl, le site de l'IDERM est bien reussi , Felicitations au concepteur Webmaster ,(il se reconnaitra) .

Mon voeu le plus chère est qu'il soit le plus souvent visité , et surtout que ce dernier incite de nouveaux membres à venir nous rejoindre ,

Merci et bienvenus donc aux futurs adherents (adherentes).

SEPTENTRION

26 janvier 2008

Notre Historique


Institut d’Étude et de Recherches Maçonniques Var

Association déclarée Loi de 1901-

l’I.D.E.R.M. ?

L’IDERM : Institut d’Étude et de Recherche Maçonnique, en association Loi 1901, dont le siège est  au 16 de la rue cadet PARIS 9ième.

En 1987, ouverture de l’antenne varoise, celle ci a vu le jour grâce à la volonté et la détermination de ces créateurs qui ont permis d’établir les fondations. Elle était constituée de 24 membres actifs du G.O.D.F.,très vite trois obédiences locales adhèrent au projet.

Le président d’honneur et fondateur de l’antenne IDERM Var prononce ces paroles qui pourraient encore nous servir de dicton. Je le cite :

«Se plonger dans le passé, faire vivre les lieux de mémoire et ré allumer les feux maçonniques, c’est passer de la Tradition à l’Héritage»

Les premières règles : sont de réunir tous ceux qui s’intéressent à l’histoire de la Franc-maçonnerie, pour tenter de recueillir des documents ou des témoignages de toutes sortes. De présenter des travaux de recherches historiques. Mais aussi assister aux conférences sur les sujets diffusés par ces membres.

Très rapidement l’antenne varoise se développe et ajoute à ses objectifs, la constitution d’un catalogue, du patrimoine maçonnique historique détenu dans le var, un recueil de travaux sur l’activité de la maçonnerie et l’organisation de conférences et d’expositions.

L’année 1997 oblige l’antenne Varoise de l’IDERM a se constituer en association Loi 1901 sous le nom : Institut d’Études et de RecherchesMéditerranéenne de façon à garder le sigle commun IDERM.

A partir de cette date l’association se donne pour but de rechercher les témoignages historiques des cultures du bassin méditerranéen.

aux plans littéraires, artistique et philosophique, de présenter à ses membres des travaux d’études et de promouvoir les résultats de ses travaux par des conférences et des expositions, afin d’en faire bénéficier le public éclairé ou désireux de parfaire leurs connaissances culturelles.

Aujourd’hui notre association est composée de 31 membres appartenant à huit obédiences différentes, elle rassemble donc des femmes et des hommes qui sont simplement intéressés de découvrir et comprendre le fait maçonnique.

Notre objectif est d’offrir une lecture du fait maçonnique par l’historique des obédiences, d’inciter les loges régionales à rédiger leur monographie, d’étudier les rituels et rites, de rédiger des biographies sur ces hommes et femmes qui ont construit les fondations de la maçonnerie universelle actuelle.

Dans nos travaux de recherches, on s’oblige à respecter des règles d’objectivité dans la méthode, et d’originalité dans les thèmes traités, on trouve à l’I.D.E.R.M. un auditoire mais aussi une diffusion à travers le support qu’est notre revue élaborée pour la première fois en Octobre 1999.

          Nos différents travaux, nos conférences, nos expositions :

Cogolin en  1993 : thème 

«les Templiers » et « L’ordre du Temple en Provence ».

le Cannet des Maures en 1994 : thème 

« Naissance et épanouissement de la Franc-maçonnerie dans le Var »

et «La Franc-maçonnerie toulonnaise du GODF et le pouvoir ».

La Garde en 1995: thème

                           «Pour un humanisme en méditerranée » 

Rocquebrune sur Argens en 1998 : thème

« les Cathares »

« Voyage en pays Cathare ».

Saint Maximin en 1999 : thème

« le Compagnonnage »

conférence par des Compagnons des Devoirs du Tour de France.

Toulon en 2001 : thème

«Jean MACÉ »

Toulon en 2005 : thème

« Obédience qui es tu »,

conférence par Mmes et Mrs les représentants des Obédiences »

Les thèmes abordés dans nos revues sont les suivants :

L’historique de l’appartenance d’un tablier de Maître Maçon.

Les obédiences maçonniques varoises au XVIII siècle.

La Franc-maçonnerie Toulonnaise du GODF et le pouvoir.

Petit résumé d’histoire maçonnique.

Une cérémonie funèbre maçonnique à Toulon au XIX siècle.

Initiations en Égypte ancienne.

Pythagore et Franc-maçonnerie.

Les origines de la loge « l’Égalité » du GODF à Draguignan.

Centenaire de la loge « L’Égalité ».

Victor Hugo, Robert Badinter et la peine de mort.

Victor Hugo : un poète en politique.

Une médaille maçonnique et un éléphant ou un éléphant sa trompe énormément ! L’éléphant Napoléonien de la bastille.

Un musicien F M : Josephus Haydn.

Les loges Toulonnaises sous le Premier Empire.

Publicité
1 2 > >>
IDERM 83
Publicité
Archives
Publicité